VOILA
LIBELLULLE.
Une forêt de possibles naissent aux deux manoirs
Où il etait une fois le silence en horizon
Une amie qui pleure dans un autre monde
Assise au cœur des songes, son absence
Est l’ivresse du soleil au cœur de mes ans
Je l’ai aimée ma mie mon étrangère
Je l’ai gardée au sein du monde entier
Et pourtant dans quelle étrangeté elle erre
Je ne connais pas son sourire, son éclat sur ses lèvres
Mais je serais toujours dans un recoin de ses rêves
Je ne connais pas son sang qui bat au fond d’elle
Mais je serais toujours dans un moment de sa peau
Je ne sais pas ce qu’elle aime au fond
Mais je connais l’aspect du soleil dans ses yeux
Je ne sais pas pourquoi le silence lui est nécessaire
Mais je connais l’ivresse du tiers de ses mensonges
Je ne peux plus la reconnaître les ans lui ont donne comme un manteau
Mais je vois encore comme des étoiles au coin de son chemin
Je ne peux plus reconnaître ses longs si longs cheveux
Mais je vois aussi ses meches blondes qui coulent au creux de mes mains
Alors pourquoi le temps de reconnaître ses errances ?
Alors pourquoi ensemble être admis au quart du monde ?
Symbole ma rose qui pleure aussi
Caractère unique de tes pétales rouges a la passion magnifique
Symbole ma fleur qui s’orne de tant de soucis
Caractère runique du maintien des limites
Obscure absence
Etanche ma peur
Au cœur de ma sœur
S’ouvre enfin le silence
Je ne sais pas pourquoi ses lèvres sont bleues
Mais j’aime les regarder trembler
Je ne sais pas pourquoi son image est floue
Mais c’est une flamme a mes pensées
Au fond j’aime et je ne sais pas pourquoi
Mais je sais que c’est aussi beau comme ca.
Patrick Duquoc