par chanterel » 08 Juil 2005 21:55
[b]สวัสดีครับ [/b]
La protection n’est plus une affaire d’homme…
Dénonçant la violation des droits des chiens lors de la castration, une association vient de lancer la première capote canine ! On n’arrête pas le progrès…
Alors que les Etats-Unis célèbrent le 29ème anniversaire de la peine de mort, des chercheurs made in USA s’inquiètent surtout des violences faites…aux chiens ! A les entendre, les toutous souffriraient de douleurs insoutenables lors de leur castration chez le vétérinaire. Et en tant que créatures vivantes, ils mériteraient plus de respect ! Ainsi, ces « experts » préconisent l’utilisation d’un préservatif lors des rapports sexuels. Une technique moins douloureuse que la castration, certes… mais plus compliquée pour le maître : est-ce à lui d’enfiler le morceau de plastique sur le sexe de son fidèle compagnon avant qu’il ne saute sur la plus attirante des femelles du quartier ? Car après tout, ce sont les propriétaires des chiens qui ne veulent pas se retrouver avec une portée de chiots sur les bras. Les chiens, eux, n’en n’ont rien à faire ! Au fond, il serait peut-être préférable de mettre au point une pilule contraceptive spécialement conçue pour la gent féminine canine… A charge pour la maîtresse de lui glisser dans sa gamelle. Une façon pour les femmes de ne pas oublier de prendre la leur ?
Auteur : Anna Topaloff et Julie Devaux
Bush vs Kerry : le plus malin n’est pas celui que l’on croyait.
Pendant la campagne électorale des dernières élections américaines, John Kerry était souvent présenté comme l’intellectuel, tandis que George W. Bush faisait figure d’idiot du village. La publication de leurs bulletins scolaires met à mal cette idée reçue.
Les deux candidats aux élections présidentielles américaines ont fréquenté, à quelques années d’écart, la même université. Sur le prestigieux campus de Yale, le candidat démocrate passait pour un tire-au-flanc tandis que le candidat républicain était considéré comme un élève « brillant ». S’il n’est pas difficile d’imaginer John Kerry draguant les filles à la bibliothèque, l’image de George W. Bush en premier de la classe crée la surprise. Ces révélations semblent être véridiques, le Boston Globe a en effet récupéré des photocopies de leurs bulletins scolaires.
On découvre ainsi, que lors de ses trois premières années d’université, George W. Bush a obtenu une note moyenne de 77 sur 100, équivalant chiffré de la lettre B, ce qui est tout à fait honorable. Plus à l’aise sur une planche de surf que derrière un pupitre, le jeune John Kerry atteignait péniblement un 71 sur 100, c’est-à-dire un malheureux C. Il était d’ailleurs particulièrement mauvais en Histoire et en Science Politique, où il n’a jamais dépassé le D. En revanche, il obtenait toujours des A en…Français ! Lors de sa dernière année, John Kerry s’est enfin mis au travail et a obtenu une note moyenne de 81, dépassant enfin son futur rival.
Il est amusant de constater que si le candidat démocrate était toujours ravi d’exhiber son dernier bulletin scolaire, il a mis tout son savoir faire en œuvre pour éviter que la presse mette la main sur les premiers. On comprend aujourd’hui pourquoi !
Auteur : Anna Topaloff et Halilhodzic
Une vraie vie de chien !
Aux Etats-Unis, les procès mettant en scène les animaux domestiques sont de plus en plus fréquents. De la garde partagée aux indemnités après un décès sur la table d’opération, tous les prétextes sont bons pour réclamer des dommages et intérêts !
C’est une évidence : les animaux domestiques font partie intégrante de notre vie. Mais est-ce une raison suffisante pour se comporter avec eux comme avec des enfants ? La limite du raisonnable est plus que franchie par les Américains qui n’hésitent pas à saisir la justice pour de sombres histoires de chats, de chiens, et même de canaris…
A Seattle, un homme s’est vu accorder 39.000 dollars suite à la mort, consécutive à un mauvais diagnostic, de son chien ! On comprend la place que Médor peut prendre dans le cœur de son maître, mais tout de même…on frise le ridicule ! Les tribunaux ne se limitent pas aux violences ou erreurs médicales, ils sont aussi chargés de trancher dans les histoires de garde d’un animal domestique au sein des couples qui se séparent.
Les futurs avocats ont bien senti l’aubaine, si bien qu’une quarantaine d’universités offrent maintenant des cours de droit spécialisés dans ce domaine porteur… Mais Richard Cupp, enseignant à l’université de Pepperdine, s’inquiète : « si un vétérinaire peut voir sa responsabilité engagé a tout bout de champ, il va contracter une assurance et les coûts de ses prestations vont considérablement augmenter. Au final, ce sont les animaux eux-mêmes qui vont subir les conséquences ».
Aux Etats-Unis, les dépenses de santé pour les animaux domestiques dépassent les 18 milliards de dollars par an. Pourtant, une importante partie de la population ne peut se soigner correctement, faute de couverture sociale…
Auteur : Lucie Loos
Quand l'oeuf tombe sur la pierre, c'est l'oeuf qui casse
Quand la pierre tombe sur l'oeuf, c'est l'oeuf qui casse.