Gamespot à L’E3. (découverte du gameplay)
En plus de voir l’impressionnante démonstration de l’ambitieux jeu de Will Wright, nous avons pu nous servir du rédacteur de créatures et nous avons été très absorbés en faisant nos propres êtres.
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LOS ANGELES :
L’un des premiers jeux que nous avons consultés à l’E3 2006 est SPORE.
Derrière des visionneuses c’est W.Wright lui-même qui nous proposa une excursion guidée et interactive de certains dispositifs de son jeu.
W.wright pour cette étude c’est servi d’une petite créature qui d’évolution en évolution à conquis sa planète, puis son système solaire et pour finir la galaxie entière.
Spore à l’évidence possède une portée incroyablement vaste.
Pourtant en dépit de cet immense concept presque accablant cela semblait être simple et facile à obtenir dans le jeu, ceci était encore plus évident quand il a fallu se servir du rédacteur fortement intuitif de la création d’une entité vivante.
Le rédacteur de créatures nous laisse créer toutes sortes de créatures différentes mais assez facilement en prenant des pièces ou en retirant des autres.
Nous pouvons les étirer, les tordre, et ainsi de suite puis enfin les vêtir de plusieurs sortes de textures de peaux.
Leurs donner une couleur etc.
On peut aussi écouter ses cris ou hurlement et tout ceci sur son socle de construction.
Le jeu sait alors automatiquement animer votre créature et la faire se mouvoir selon que l’on lui a attribué une 2 ,3 ou quatre jambes.
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[center]On peut le munir de plusieurs yeux, bras, jambes, bouches, mains etc.[/center]
Tout cela est utilisable sur une interface 3D.
Les morceaux se collent automatiquement et logiquement ensemble sur le corps que vous aurez choisi. Et selon les types de pièces que vous emploierez vous pourrez faire de votre créature un être totalement différent.
Un être docile avec des sens aiguisés comme les antennes ou une monstruosité avec d’énormes bras ou tout simplement un hybride des deux.
Nous avons donc essayés de faire notre créature et nos résultats furent plus ou moins intéressants et parfois même déconcertants, l’apparente facilité de W.Wright était en grande partie oublié.
[html]<img>Naturellement il sera possible de sauvegarder vos créatures et chose étonnantes elles pourront peupler la galaxie d’autres joueurs au moyen de son système de banque de données instantané.<br><br>[/html]
Il y a bien sur d’autres sophistications dans ce rédacteur mais comment agit il sur le gameplay ?
Apparemment toutes les différentes pièces disponibles pour créer votre créature auront différentes ESTIMATIONS et COUTS, et ne seront disponibles que par l’avance graduelle du joueur tout au long du jeu.
On ne pourra pas créer un tyrannosaure en commençant le jeu.
Il semblerait qu’il y est 3 stades primaires
Puissance
Vitesse
Vol .
Les différentes pièces affecteront des statistiques donnant différents coûts et forçant le joueur à faire des choix importants pour le futur de leur progéniture.
On pourra alors essayer nos créatures dans des écosystèmes EXISTANT et observer comment ils se comportent avant de faire d’autres choix.
Outre le rédacteur de créatures que nous avons pu utiliser aujourd’hui pendant 15 minutes nous savons maintenant qu’il existe d’autres rédacteurs
_des bâtiments
_des villes
_de la végétation
_des véhicules
_des planètes
Nous sommes impatients d’en voir encore plus de ce magnifique jeu
Gamespot à l’E3 (Sirjas)
C’était prévisible l’accueil de l’E3 à W.Wright fut le même que l’année dernière et il reçu l’ovation de tous les professionnels du jeux vidéo.
La différence c’est que cette année il est hors compétition.
La démonstration à commencé par une courte vue de ce que nous supposons être une interface provisoire du jeu.
6 icônes primaires pour représenter les étapes révolutionnaires de vos créatures
-cellulaires
-créature
-tribal
-villes et pays
-espace.
La plupart des joueurs voudront commencer en créant une créature toute neuve à partir zéro en sautant l’étape cellulaire.
Le rédacteur de créatures nous donne une masse informe avec une moelle épinière que nous pouvons étirée et tordre.
A cette épine dorsale nous pouvons rattaché des membres bras et jambes, la forme de la bouche déterminera son alimentation
-herbivore
-carnivore
-omnivore
Ainsi que le bruit de sa voix
Dans son écosystème généré
Aléatoirement par l’ordi il sera possible de télécharger les créations d’autres joueurs.
W .Wright nous a affirmé que la flore
serait crée automatiquement par l’IA mais qu’elle peut elle aussi être crée à partir
d’un éditeur spécialement conçu pour se faire.
Le serveur en ligne de Spore (banque des données) téléchargera les créatures d’autres joueurs ce qui est presque du multijoueur car elles interagissent les uns avec les autres.
Nous avons alors pris la commande d’une créature spécifique, elle était comique avec 6 jambes et une peau jaune et rouge.
Wright à pris la créature en commande et a immédiatement recherché de la nourriture pour elle, d’abord en attaquant des créatures plus petites.
A ce stade de l’évolution il y a bouton d’attaque qui nous fait attaquer manuellement nos cibles.
Malheureusement pour nous ces petites créatures étaient trop fortes et il nous a fallu nous rabattrent sur des œufs d’autres créatures.
Puis nous avons trouvés un troupeau d’herbivores et nous avons pu chasser leurs progénitures. Wright nous a alors expliquer que mangé nous accordait des points d’ADN.
(Ainsi petit à petit le véritable gameplay de ce stade ce dévoile. Nous avons appris que nous posséderions un petit magot d’ADN et que pour évoluer notre créature devra manger et procrée afin de se mettre sur une pente ascendante de l’évolution. Il est fort à parié que l’intelligence de celle-ci soit en équation avec sa puissance et que trop de force lui concède un cerveau minuscule ceci étant qu’une supposition de ma part.)
Procréer apporte donc lui aussi des points d’ADN.
Comment faire ?
En fait c’est assez simple, la créature envoie des appels (on les entends mais ils sont matérialisés par des anneaux, voir vidéo) sur une autre créature de son espèce ; Si celle-ci émet des petits cœurs alors la musique ambiante est commuté en un air romantique, les créatures se joignent dans un rituel amoureux.
Environ 2 secondes plus tard on voit apparaître un nid et des petits œufs.
Wright a alors cliqueté sur un œuf et un bébé créature est apparu.
C'est sur cette nouvelle créature que les points d’ADN serviront à peaufiner votre créature grace à l’éditeur qui se saura amélioré de dispositifs nouveaux.
Un troupeau peut se former en lançant un autre genre d’appel aux créatures de même espèce.
Les troupeaux forment par la suite la base du jeu au niveau « TRIBAL ».
Une fois arrivé au niveau tribal on pourra utiliser un rédacteur de hutte pour concevoir les logements de vos créatures.
Par la suite la prochaine étape sera le niveau « VILLE » le rédacteur alors pourra élaborer des bâtiments de conception plus modernes et à ce moment on pourra même influer sur la flore ambiante.
C’est à l’étape de la ville qu’il sera possible de commencer à rechercher le voyage dans l’espace.
Sur l’hôtel de ville de sa cité Wright a cliqueté et avec un son de fanfare, un feu d’artifice à été tiré pour fêter le lancement du premier UFO.
On peut comme la créature le commander directement, le faire voler le long de la surface de votre planète et employer un "rayon d'abduction" pour prendre toutes les autres créatures vivantes que vous souhaitez pour coloniser une autre planète.
Nous sommes alors partis vers notre système solaire et peut être plus tard vers l’univers.
Wright nous a dit que nous étions entrain de contempler un demi million d’étoiles, chacune avec plus ou moins 4 planètes, l’habitabilité des planètes peut être vu d’un coup d’œil en vérifiant une série de mesure sur un petit écran qui indique
-température
-atmosphère
-vie intelligente etc.
Nous sommes passés sur un monde encore plus étrange avec des océans verts et des masses de terre pourpres, nous avons essayés de la coloniser en y déposant une créature mais cela n’a pas marché et elle c’est fait tuer par des créatures plus puissantes qu’elle.
Apparemment toutes les créatures issues de l’IA sont cataloguées dans un répertoire connu sous le nom de « sporepedia » qui catalogue la puissance, la vitesse, les sens, le vol, et les capacités sociales des différentes créatures.
Nous avons alors essayés de rentrer en contact avec une autre planète habitée par des formes de vie intelligentes.
Ces humanoïdes verts sont sortis de leurs maisons alors que nous planions au dessus d’eux, ils se demandaient qui nous étions.
Wright a essayé la première fois d’être diplomatique en lançant des feux d’artifices à partir de son UFO, les habitants surpris ont semblés aimer.
Avec des feux d’artifices Wright a impressionné ces habitants puis il a décidé d’enlever avec le rayon abduction un des citoyens de cette planète.
Ce qui n’a pas l’air de leur avoir plu car ils couru immédiatement à leurs armements.
Wright avec les lasers de son UFO leur impose sa puissance.
Il a rapidement reçu une transmission interstellaire de cette population qui a exigé une explication.
Il y a eu alors quelques options de dialogue, y compris des excuses et une déclaration de guerre.
Wright a bien essayé de faire des excuses mais apparemment cela n’a pas suffit et ils ont lancés une contre attaque sur la planète de Wright.
Wright a alors un appel a sa nation pour lancer les navires spatiaux d’invasions.
Plutôt que d’aider la défense de sa planète Wright est reparti dans l’espace pour explorer des mondes inconnus.
Il a découvert une planète anciennement habitée ou se trouvait des outils cachés pour améliorer son vaisseau.
Il a également trouver un vaisseau spatial pouvant traversé les trous noirs qui permet de se rendre à vitesse instantanée dans tous les endroits de la galaxie.
SPORE continue chaque jour à être plus prometteuse et intrigante.
Wright nous avait pas dis l’année dernière à quel point son jeu pouvait être complexe et prenant.
Merci au staff de gamespot et à Sirjas