salut et merci pour l'info.

mais... apparemment, tu fais souvent ça: juste mettre un lien... peux-tu stp mettre l'article en entier, en mettant la source à la fin. ça évite de devoir ouvrir une nouvelle page et visiter un nouveau site. et ça évite d'avoir des liens morts au bout d'une année

merci !

Ok pas de probléme et toutes mes excuses pour la mise en forme sur mon autre post.

tiens, en parlant de drône:


Un drone à l'aide

Publié le 08 novembre 2004

La volonté d'utiliser un drone a été confirmée par les autorités

SDA-ATS News Service

Le juge d'instruction Leonardo Malfanti a bel et bien voulu utiliser un drone lors de son enquête sur les incendies de voitures à Genève. La présidente du Département de justice et police Micheline Spoerri avait alors joué les intermédiaires.

Mme Spoerri a accédé à la requête du juge le 4 octobre, alors que Genève venait de connaître une vague d'incendies de voitures sans précédent. La conseillère d'Etat a contacté le conseiller fédéral Samuel Schmid pour lui demander que l'armée prête à Genève un petit avion télécommandé, a souligné lundi le DJPS.

Le conseiller fédéral est entré en matière le 8 octobre. M. Schmid, pour des raisons de compétence, a transmis la demande à son collègue Moritz Leuenberger, responsable de l'Office fédéral de l'aviation civile (OFAC), dont relève la sécurité aérienne. A ce jour aucune décision n'a été communiquée aux autorités genevoises.

Le drone aurait été un instrument fort précieux pour traquer les pyromanes. L'appareil est en effet capable de détecter de façon très précoce les foyers d'incendie, en particulier ceux qui ne sont pas forcément décelables au sol. La police et les pompiers auraient ainsi pu immédiatement intervenir.

Le juge d'instruction avait demandé de pouvoir disposer du drone pendant trois nuits, le week-end. Les incendiaires agissaient en effet généralement de nuit le week-end.

Finalement, la police genevoise n'a pas eu besoin du secours d'un drone pour faire avancer son enquête. Une vaste opération a été menée il y a une semaine. Elle a débouché sur l'interpellation de "plusieurs suspects" et l'inculpation, par le juge Malfanti, de deux d'entre eux, a indiqué le DJPS.

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